Où s’en va l’homme en blanc ? Cet éternel inconnu au profil taillé à l’égyptienne marche d’un air décidé, se frayant un chemin entre les traces d’une civilisation ruminant du Chewing-gum. Pour quoi va-t-il à gauche ? Pourrait-il aller tout droit ? Considéré comme une indication poussant à quitter les lieux, un outil déshumanisé, ce « personne » est peut-être finalement quelqu’un. L’artiste, lui, a pris le temps de le rencontrer. C’est déjà un pas vers une belle direction. Pour lui, il existe.
Où s’en va l’homme en blanc ? Cet éternel inconnu au profil taillé à l’égyptienne marche d’un air décidé, se frayant un chemin entre les traces d’une civilisation ruminant du Chewing-gum. Pour quoi va-t-il à gauche ? Pourrait-il aller tout droit ? Considéré comme une indication poussant à quitter les lieux, un outil déshumanisé, ce « personne » est peut-être finalement quelqu’un. L’artiste, lui, a pris le temps de le rencontrer. C’est déjà un pas vers une belle direction. Pour lui, il existe.